« Nous préparons (ce voyage) avec beaucoup de soin parce qu’il y a des questions qui intéressent nos deux pays, qui intéressent des Algériens qui vivent en France qui intéressent aussi des Algériens qui veulent venir en France et qui ne le peuvent pas parce qu’il y a des règles et qui intéresse aussi l’avenir et l’Histoire », a‑t‑il ajouté. Avant de préciser : « l’Hhistoire doit servir à bâtir l’avenir et non pas à l’empêcher », a‑t‑il précisé, sans plus de détails, en allusion aux demandes algériennes répétées sur la repentance.
« Nous aurons à nouer une relation que nous savons être forcément particulière avec l’Algérie afin que nous puissions enfin dépasser, surpasser, tout ce qui est lié à l’Histoire. Une Histoire douloureuse, avec des mémoires qui sont encore blessées. De manière à ce que nous puissions nous tourner résolument vers l’avenir parce qu’il y a des potentialités énormes entre nos deux pays pour le développement économique et culturel », a‑t‑il conclu.
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