samedi 22 décembre 2012
Ce concept de Franco-Algérien, uniquement réservé à notre communauté (nous n’entendons jamais parler de Franco-Italien, Espagnol, Polonais, Israélien, Canadien, Sénégalais…) n’a aucune valeur législative, ni constitutionnelle, mais il se nourrit du contexte sociologique, culturel, cultuel(4), voire ethnique. Il se développe, en fait, des «phobies» qui se terrent profondément dans l’inconscient collectif de la société française, qui résiste ou refuse les mutations démographiques qui la transforment substantiellement(5), doucement mais sûrement, par un facteur actif qui se nomme le métissage mendélien.L’extrême droite lepeniste en est l’expression la plus manifeste mais également la plus folklorique et donc la moins dangereuse.C’est la gauche socialiste et sa politique «d’intégration-digestion», qui paraît la plus insidieuse, puisqu’elle consiste à passer tout le monde(6) dans le même moule pour en sortir un Français «blanc, beur, black», une espèce d’arc-en-ciel découplé par un prisme qui est une véritable illusion sociétale. Il faut aller vers la droite humaniste pour trouver les thèses les moins défavorables à notre communauté, qui doit se fondre dans la République(7), tout en conservant son originalité et sa spécificité.
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