mardi 19 février 2013

La sénilité semble de plus en plus gagner certains dirigeants de la Révolution de Novembre.

Ahmed Mahsas sur les pas de Ben bella

“S’il n’y avait pas Ben Bella et moi, il n’y aurait pas eu de Révolution”

La sénilité semble de plus en plus gagner certains dirigeants de la Révolution de Novembre. Après le défunt Ahmed Ben Bella qui s’était, au crépuscule de sa vie, attribué à lui seul la paternité sur la guerre de Libération nationale, excluant d’un haineux revers de la main toutes les autres contributions et les sacrifices d’autres dirigeants bien plus impliqués que lui dans la conduite de la résistance, c’est au tour, hier, d’un certain Ahmed Mahsas de ramener la grande Révolution d’indépendance à sa petite personne. “S’il n’y avait pas Ben Bella et moi, il n’y aurait pas eu de Révolution.” Rien que ça. C’est dans un entretien accordé à El Khabar qu’il assène “ses vérités” au point d’occulter complètement les autres dirigeants de la Révolution. À défaut d’apporter des témoignages constructifs qui contribueront à une écriture dépassionnée de la Révolution de Novembre, ces personnages rendront un grand service aux nouvelles générations en continuant à se taire.

 Rubrique Radar in Libérté dz

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