mercredi 2 novembre 2016

"Je regrette que nos dirigeants politique ne viennent pas ici à Alger dire : Oui la colonisation était une erreur. Oui elle a créé des drames, mais au même temps elle a crée les liens qui permettent que je viens le dire", a déclaré Edwy Plenel, écrivain et journaliste.

"Les Algériens doivent avoir un accès libre à leur histoire", Edwy Plenel, écrivain et journaliste

EDWY PLENEL
Le journaliste et écrivain Edwy Plenel a réitéré ce mardi 1 novembre son appel à la France de reconnaître ses crimes coloniaux en Algérie. Invité de la Rédaction de la Chaîne III de la Radio algérienne, où il a présenté quelques-uns de ses ouvrages, le président et cofondateur de Mediapart, a exhorté les autorités françaises à reconnaître leurs crimes afin de "ne pas répéter les drames" et à restituer les archives aux Algériens.
Edwy Plenel intervenait en marge du Salon international du livre d'Alger (SILA). Lors de cet entretien, il a d'abord pointé du doigt la responsabilité des pays occidentaux dans "le désordre mondial", affirmant qu'"aucune nation ne doit dicter son sort à une autre".
Il a condamné les interventions militaires occidentales, ces "mensonges d'Etat, devenus des "mensonges médiatiques" derrière, selon lui, les attentats terroristes en Europe.
Le journaliste n'a pas manqué non plus de condamner l’intervention militaire de la France en Libye, la qualifiant de "guerre privée".
Interrogé sur la stigmatisation des musulmans en France, Edwy Plenel a dénoncé des politiciens "en quête de bouc émissaires", soucieux de "faire oublier la question sociale". "On ethnicise, on met du religieux pour faire oublier les ouvriers et les opprimés qui réclament simplement de la dignité et de l’égalité", a-t-il déclaré.
Il a dans ce sens appelé à faire preuve de solidarité avec les minorités, prônant pour ce faire la pluralité dans le vivre-ensemble et non pas le repli sur soi. Il évoque alors l’Algérie, qui "a du penser dans son chemin à la pluralité de son peuple", citant son histoire arabe et son peuple berbère, entre autres.
Les Algériens doivent avoir un accès libre à leur histoire
En parlant de l'Algérie, le cofondateur de MediaPart a ensuite appelé, une fois de plus, la France à reconnaître ses crimes coloniaux. Il a souligné la nécessité de les reconnaître "pour ne pas répéter les drames".
"Il ne s’agit pas de s’excuser, mais de reconnaître, admettre que la France a fait des tragédies", insiste-t-il. "Moi je regrette que nos dirigeants politique ne viennent pas ici à Alger dire : Oui la colonisation était une erreur. Oui elle a créé des drames, mais au même temps elle a crée les liens qui permettent que je viens le dire", a-t-il déclaré.
Il a également affirmé la nécessité de restituer les archives sur la colonisation française aux Algériens, pour "la vérité et la réconciliation". "Il faut que toutes les archives soient mises sur table, y compris celles qui dérangent, celles qui font mal. Il faut que les historiens, français et algériens, puissent y avoir accès", a-t-il rajouté.
"Le peuple algérien aujourd'hui doit avoir un accès libre à son histoire. Nous savons par exemple que Abane Ramdane a été assassiné par les siens. Il faut le dire, le vivre et l'accepter".
L'écrivain a par la suite appelé à cesser "toute concurrence de victimes", cette "guerre des mémoires" et cette "hiérarchie des crimes" pour pouvoir les "reconnaître et inventer un chemin nouveau".
"Ce n'est pas juger ou faire de la morale mais inventer une nouvelle histoire, qui ne répète pas les crimes, ces tragédies et ne répète pas les drames", a-t-il conclu.

Mehdi Alioui
source : http://www.huffpostmaghreb.com/2016/11/01/edwin-plenel_n_12751534.html

samedi 22 octobre 2016

L’album photo des halles Laissac à Montpellier

L’édifice en fer et en fonte est d’abord nommé "halles de la Croix-de-Fer", en référence à la croix qui s’élève à l’arrière, puis "halles de l’Observatoire" et enfin "halles Laissac", du nom du maire de Montpellier de 1878 à 1888. © Collection Roland Jolivet
Pour la troisième fois depuis 136 ans, les halles Laissac s’apprêtent à renaître. Les travaux de la dernière version des halles devraient démarrer fin 2017.


La construction des premières halles débute en 1876. Elles sont inaugurées quatre ans plus tard, le 6 novembre 1880.


L’édifice en fer et en fonte est d’abord nommé "halles de la Croix-de-Fer", en référence à la croix qui s’élève à l’arrière, puis "halles de l’Observatoire" et enfin "halles Laissac", du nom du maire de Montpellier de 1878 à 1888.


Les Montpelliérains surnomment ces halles "marché bas", en opposition au "marché haut" des halles Castellane.  Ils l’appellent aussi "marché rond".


Les anciennes halles sont hautes de deux étages et sont ouvertes sur l’extérieur. Des étals débordent sur la place.


En 1966, le maire François Delmas décide de démolir les anciennes halles.


Le nouveau projet, dans l’air du temps, comprend un parking de 300 places.


Le sous-sol des halles est traversé par de petits cours d’eau. Cette contrainte complique le chantier qui s’étale sur deux ans.


Pierre Lafitte est l’architecte des halles. Il a beaucoup construit à Toulouse (notamment le parking Victor-Hugo). Il est l’un des huit architectes de la mission Racine (aménagement du littoral dans les années 1960).


Les halles Laissac sont inaugurées en 1968. Elles sont modernes avec des places de stationnement (de 250 à 300) et des étals installés sur plusieurs niveaux intérieurs.


Mal-aimé des Montpelliérains, le bâtiment est régulièrement critiqué pour son aspect massif.


En 2012, le street artist Al Sticking s’empare des halles et y colle un visage monumental de profil, étage par étage.


En janvier 2014, le maire Hélène Mandroux décide de démolir les halles rondes pour réaliser à la place un bâtiment au design futuriste, signé par l’architecte marseillais Christophe Gulizzi.


Le projet d’Hélène Mandroux est stoppé par Philippe Saurel dès son élection à la mairie au printemps 2014. Deux ans plus tard, il engage la démolition des halles, mais pour un tout autre projet.


Le 19 avril 2016, la démolition des halles démarre (coût : 1,6 M€). Les commerces ont déménagé le 12 mars sur un site temporaire, cours Gambetta.


Début août 2016, il ne reste plus que deux étages du parking.


Mi-septembre 2016, la démolition est achevée. Le trou sera comblé, puis, pendant un an, la place sera restituée aux piétons. Le carrousel de la Comédie pourrait s’y installer temporairement.


Mi-octobre 2016, le trou est comblé pour être transformé en nouvelle place, qui restera en état pendant un an, d'ici le début des travaux de construction des nouvelles halles, fin 2017.


Le projet de nouvelles halles Laissac est élaboré par l’atelier d’architecture de la Ville. Le bâtiment devrait coûter 8 M€, s’élever à huit mètres de haut (trois fois moins que les halles précédentes) et s’ouvrir sur la place Laissac. Il s’inspire très fortement des halles historiques. Le chantier devrait démarrer en novembre 2017.


Les nouvelles halles devraient être livrées fin 2018. La Ville prévoit des aménagements extérieurs et notamment la plantation d’arbres "proches des micocouliers", selon Philippe Saurel.

Pages réalisées grâce aux photos fournies par le ministère de la Culture, la Ville de Montpellier, Roland Jolivet, l’INA, les halles Laissac, et aux archives de La Gazette (Céline Escolano, Valentine Roth).
Paru dans La Gazette de Montpellier n° 1474 - Du 15 au 21 septembre 2016

dimanche 16 octobre 2016

17 octobre 1961 :Un massacre occulté de la mémoire collective...


17 octobre 1961 : "Ce massacre a été occulté de la mémoire collective"


L'exécution de plus d'une centaine de manifestants algériens à Paris le 17 octobre 1961 reste méconnue, souligne l'historien Gilles Manceron.


Un Algérien blessé est emmené par le photographe Elie Kagan et un journaliste américain à l'hôpital de Nanterre, le 17 octobre 1961.
Un Algérien blessé est emmené par le photographe Elie Kagan et un journaliste américain à l'hôpital de Nanterre, le 17 octobre 1961. ELIE KAGAN

A cinq mois de la fin de la guerre d'Algérie, le 17 octobre 1961, Paris a été le lieu d'un des plus grands massacres de gens du peuple de l'histoire contemporaine de l'Europe occidentale. Ce jour-là, des dizaines de milliers d'Algériens manifestent pacifiquement contre le couvre-feu qui les vise depuis le 5 octobre et la répression organisée par le préfet de police de la Seine, Maurice Papon. La réponse policière sera terrible. Des dizaines d'Algériens, peut-être entre 150 et 200, sont exécutés. Certains corps sont retrouvés dans la Seine. Pendant plusieurs décennies, la mémoire de ce épisode majeur de la guerre d'Algérie sera occultée.


L'historien Gilles Manceron, auteur de La Triple Occultation d'un massacre (publié avec Le 17 octobre des Algériens, de Maurice et Paulette Péju, éd. La Découverte), explique les mécanismes qui ont contribué à cette amnésie organisée.
>> Portfolio sonore : Les photos inédites du 17 octobre
Pourquoi la répression de la manifestation du 17 octobre 1961 a-t-elle été occultée pendant si longtemps ?
Il s'agit d'un événement d'une gravité exceptionnelle, dont le nombre de morts a fait dire à deux historiens britanniques [Jim House et Neil MacMaster, Les Algériens, la République et la terreur d'Etat, Tallandier, 2008] qu'il s'agit de la répression d'Etat la plus violente qu'ait jamais provoquée une manifestation de rue en Europe occidentale dans l'histoire contemporaine.
Comment une répression de cette ampleur a-t-elle pu ne pas être considérée pendant plusieurs décennies comme un événement de notre histoire ? L'historien Pierre Vidal-Naquet a employé le terme d'"énigme". Je me suis interrogé sur les facteurs qui permettent d'expliquer comment ce massacre a été occulté de la mémoire collective.
Il me semble tout d'abord qu'il y a une volonté de faire le silence de la part des autorités françaises. En premier lieu, bien sûr, les autorités impliquées dans l'organisation de cette répression : le préfet de police de la Seine, Maurice Papon, le premier ministre, Michel Debré, ainsi que Roger Frey, ministre de l'intérieur. Mais également le général de Gaulle, qui de toute évidence a pourtant été très irrité par cet épisode. Il a néanmoins voulu tirer le rideau sur cette affaire et fait en sorte que les Français passent à autre chose.
Par quels moyens le pouvoir a-t-il réussi à imposer le silence, et donc cette amnésie ?
Sur le moment, il y a eu censure de la presse, avec l'empêchement des journalistes à se rendre sur les lieux de détention des Algériens, par exemple. Et puis très vite, les instructions judiciaires ont été closes sans aboutir. Il y en a eu une soixantaine, elles ont toutes débouché sur des non-lieux. Une volonté d'oubli judiciaire, qui s'est combinée avec les décrets d'amnistie, qui couvraient les faits de maintien de l'ordre en France, une difficulté à accéder aux archives, l'épuration d'un certain nombre de fonds... tout cela a contribué à ce phénomène d'occultation jusqu'à la fin des années 1970.
Par la suite, d'autres facteurs ont pris le relais. En 1961, Gaston Deferre, àl'époque sénateur, avait protesté de façon très vigoureuse contre la répression policière. Mais quand Jean-Louis Béninou, journaliste à Libération, va le voir pour lui demander de faire la lumière sur cet événement, au début des années 1980, M. Deferre, devenu ministre de l'intérieur, lui répond qu'il n'en est pas question. Il a fait le choix de ne pas ouvrir ce dossier.
Cinquante ans plus tard, il existe encore une confusion entre le 17 octobre 1961 et la manifestation de Charonne, le 8 février 1962, au terme de laquelle neuf personnes ont trouvé la mort...
La mémoire de Charonne, une manifestation pour la paix en Algérie et contre les attentats de l'OAS – mais pas pour l'indépendance ! –, s'est en effet superposée à celle d'octobre 1961. Il faut dire que la gauche française a eu plus de réactivité par rapport à la violence qui s'est déployée lors de la manifestation de Charonne, qu'elle avait organisée. Cette attitude a été celle du PCF, mais également de la Ligue des droits de l'homme, qui a décidé la constitution d'une commission d'enquête après Charonne alors qu'elle ne l'avait pas fait au lendemain du 17 octobre.
On voit là les limites de l'engagement de la gauche française de l'époque. A l'exception du petit PSU et de l'UNEF, rares étaient les partis qui étaient réceptifs à l'idée d'une indépendance algérienne.
Le plus surprenant, c'est que la mémoire de Charonne ait occulté celle du 17 octobre y compris au sein de certaines familles algériennes...
Oui. La famille d'une des victimes du 17 octobre, une jeune lycéenne, qui devaitavoir 15 ou 16 ans, Fatima Bédar, dont on avait retrouvé le corps dans le canal Saint-Martin, a longtemps cru et répété qu'elle était morte à Charonne. Au sein même de l'immigration algérienne, le mot de "Charonne" était plus présent que la référence au 17 octobre.
Au lendemain de l'indépendance, comment cet événement a-t-il été utilisé par les nouvelles autorités algériennes ?
C'est ici qu'un troisième facteur d'occultation a joué : la volonté du pouvoir algérien de ne pas mettre en valeur une initiative prise par la Fédération de France du FLN, qui avait organisé la manifestation du 17 octobre.
La Fédération de France était en effet devenu un fief d'opposition au nouveau pouvoir en raison de son ouverture aux idéaux et aux valeurs de la gauche européenne, syndicale et politique. Lors de la crise de l'été 1962 qui vit s'affronter, au sein du FLN, les prétendants au pouvoir, elle avait misé sur les civils du GPRA[le gouvernement du FLN en exil] contre les militaires de l'armée des frontières du colonel Boumediene. Elle se retrouva ainsi dans le camp des vaincus et les autorités de la nouvelle République algérienne évitèrent de lui faire de la publicité, en passant plus ou moins sous silence la répression du 17 octobre...
Comment s'est finalement faite toute la lumière sur l'ampleur du massacre ?
A travers des publications, notamment. Le roman policier de Didier Daeninckx [Meurtres pour mémoire, Gallimard, 1984], qui associe la recherche sur le passé de Maurice Papon sous l'Occupation à son rôle en 1961, ou des travaux d'historiens comme La Bataille de Paris, de Jean-luc Einaudi [1990, Seuil], ont joué un rôle. Et puis avec la constitution d'une association, Au nom de la mémoire, par des enfants issus de l'immigration algérienne, la mémoire a commencé à émerger.
La procès de Maurice Papon pour complicité de crimes contre l'humanité en tant que secrétaire général de la préfecture de la Gironde pendant l'Occupation a certainement contribué à ouvrir le dossier du 17 octobre 1961 et à le faire surgirdans l'espace médiatique. Lors du procès Papon en 1997-1998, des témoins ont parlé de sa personnalité, de son rôle en Algérie et à la préfecture de police de Paris. Parmi eux, Jean-Luc Einaudi, qui a publié une tribune dans Le Monde du 20 mai 1998, où il employait le terme de "massacre" à propos du 17 octobre. Papon a trouvé bon de poursuivre Einaudi pour diffamation. Il a été débouté de sa plainte. Le terme de "massacre" a été considéré comme légitime par le tribunal. C'est un véritable tournant.
Cinquante ans après les faits, l'Etat français a-t-il reconnu sa responsabilité ?
Il y a une reconnaissance de la part de collectivités locales, notamment la mairie de Paris en 2001 qui a fait un geste fort avec l'apposition d'une plaque commémorative sur le pont St-Michel. D'autres communes de la banlieue ont fait des gestes similaires. Et le cinquantenaire, cette année, va être marqué par toute une série d'initiatives, dont un boulevard du 17-Octobre devant la préfecture des Hauts-de-Seine, à Nanterre. Mais de la part de l'Etat, il n'y a toujours aucun signe de reconnaissance.
Comment expliquer que cette répression ait eu lieu alors que venaient de s'ouvrir les négociations d'Evian, qui allaient aboutir à l'indépendance de l'Algérie ?
Les négociations d'Evian entre des représentants français et ceux du FLN s'ouvrent en mai 1961. A ce moment-là, on pouvait penser que le sort de la guerre ne pouvait déboucher que sur une indépendance. C'était la volonté du général de Gaulle, approuvée par les Français et les Algériens. En janvier 1961 un référendum avait donné une très nette majorité (75 %) en France métropolitaine comme en Algérie en faveur de ce processus.
Mais cette politique était contestée par un certain nombre de forces, parfois au sein même de l'appareil d'Etat. Le premier ministre, Michel Debré, qui avait été dessaisi du dossier algérien par de Gaulle, avait insisté pour qu'on lui laisse celui du maintien de l'ordre en France métropolitaine, et il a pu déployer une action qui prenait le contre-pied de l'action mise en œuvre par le général de Gaulle.
Pour ce faire, il s'entoura de Roger Frey, nommé au ministère de l'intérieur en mai 1961 au moment où s'ouvrent les négociations d'Evian, en remplacement de Pierre Chafenet. Surtout, il obtient le remplacement fin août d'Edmond Michelet, le garde des sceaux, qui s'opposait aux méthodes brutales et illégales mises en œuvre par Papon. Il sera remplacé par Bernard Chenot, un homme jugé plus accommodant, ce qui laissera les mains libres à Papon pour se livrer à la répression du 17 octobre.
Le général de Gaulle, qui est arrivé au pouvoir avec l'aide de Michel Debré en 1958, est un peu prisonnier des conditions de son accession au pouvoir. Il essaye de préserver l'essentiel, c'est-à-dire la fin de la guerre via les négociations, et fait des concessions. Il cherche à garder à ses côtés des gens qui lui sont fidèles, quand bien même ces derniers désapprouveraient sa politique algérienne. Il fait donc savoir son mécontentement à Michel Debré au lendemain du 17 octobre, mais s'abstient de rendre publique sa désapprobation. Il garde le silence, et prolonge d'une certaine manière l'occultation de cet événement.

source : http://www.lemonde.fr/

mercredi 5 octobre 2016

Les Nuits Gastronomiques furent magiques ! Festival gourmand de Montpellier dans le cadre de la Fête de la Gastronomie 23 et 24 septembre 2016



Les Nuits Gastronomiques furent magiques!
festival gourmand de Montpellier dans le cadre de la
Fête de la Gastronomie
23 et 24 septembre 2016



Initiée au Ministère de l’Économie et des Finances, la Fête de la Gastronomie est portée par Martine PINVILLE, Secrétaire d’Etat chargée du Commerce, de l’Artisanat, de la Consommation et de l’Economie sociale et solidaire, en partenariat avec le Ministère de l’Agriculture et son Ministre, Stéphane LE FOLL. Sous la direction de la Secrétaire d’Etat, un commissariat général dédié à la Fête accompagne chaque année les porteurs de projets et valorise leurs événements.


























Pendant les deux soirs des 23 (les restaurants) et 24 (les bars à vin) septembre dans l'Ecusson,  les établissements ont ouvert leurs portes pour accueillir le public et les faire decouvrir les spécialités de la maison dans leur version mini.
L'innaguration du festival, organisée dans le restaurant lounge 1789, a reuni les élus, les restaurateurs, les consuls et les journalistes loceux et internationaux.





Les restaurants ont preparés leurs meilleurs plats à base des produits regionaux dans leurs versions mini




Les bars a vins ont régalés ses clients avec les mariages savoureux et originaux de tapases et des vins loceux.



Cette année à l'occasion de la thématique de la Fête de la Gastronomie, beacoup de chefs ont organisé les cours de cuisine pour le grand public.


Le festival a été clôturé par un grand buffet sur le marché Mercadis et suivie par la rencontre avec les producteurs locaux.


Remerciments
Nous remercions tout d'abord Madame Martine Pinville, Secrétaire d’Etat chargée du Commerce, de l’Artisanat, de la Consommation et de l’Economie sociale et solidaire, en partenariat avec le Ministère de l’Agriculture et son Ministre, Stéphane Le Foll qui nous ont fait confiance en labelisant le festival "La Fête de la Gastronomie".
Nous remercions la DIRECTE et Julien Leglise, chargé de mission « tourisme », qui nous encourageait chaleureusement tout au long de préparation du festival.
La Mairie de Montpellier avec :
Monsieur le maire Philippe Saurel,
Chantal Marion conseillère municipale,
Fabrice Palau qui nous a soutenu par ses conseils,
La Chambre de Commerce de Montpellier avec son directeur André Deljarry et Jackie Clapié – Conseiller Tourisme et Développement de projets, qui a suivi de près l'avancement de notre projet.
La maison internationnalle avec :
la directrice Laëtitia Morel
la directrice adjointe Jaana Reinikainen
La maison de la démocratie avec :
le directeur Stéphane Sauvion
L’office de tourisme de Montpellier pour  la visibilité de notre événement, avec son président
Jean-Luc Cousquer conseiller municipal délégué au tourisme,
son directeur Fabrice Cavillon
la directrice marketing Marie Dominique Bellamy-Clauzel,
Un grand merci aux chefs de l’association les Toques Blanches pour leur intérêt
pour notre événement,
Les producteurs et les vignerons qui soutiennent l’événement notament le
domaine de Salazar.
Nos sponsors, bière "le Détour", fruits secs "il était un fruit" et apéritif "Marquisette".
Ainsi que l’association DSD pour leur expertise dans le domaine du
dévéloppement durable et pour l’énergie investit dans le projet.
Nous remercions aussi Mercadis avec son directeur Olivier Lauro, pour l'organisation et l'accueil de la clôture du
festival le 26 septembre dans ses locaux. Il nous a aussi soutenu dans la
recherche des sponsors. En cette journée particulière, les élus et les
restaurateurs pourront ainsi rencontrer les producteurs de la région et ainsi
créer une dynamique autour de l’alimentation saine et favoriser une économie
locale.

Et à toute l'équipe! Sans vous, on pourrait rien...




Et voilà les heureux gagnants de l'édition 2016 dédié à la fête de la gastronomie !
La meilleure carte des vin - LeVinarium
Le meilleur accueil - 1789 Restaurant & Bar Lounge
Le meilleur accord met et vin - Au Tapissier Sur Meuble
Le meilleur plat à base des produits de la région - Le Bourgeon

source : http://shoutout.wix.com/so/6LUMIcq2#/main