lundi 8 octobre 2012
"Je ne peux me sentir libre, si les autres ne le sont pas". C’est par cette phrase emblématique que Jean-Paul Sartre avait donné tout son sens à l’engagement des intellectuels français au côté du mouvement de libération nationale algérien contre l’emprise du colonialisme. Un engagement solidaire, qui s’inscrit dans la droite ligne de l’illustre révolte d’Émile Zola avec son réquisitoire J’accuse pour la défense de l’officier Dreyfus, victime d’une injustice perpétrée contre lui à cause de son origine juive.
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