Décembre, mois de la transhumance à l’Assemblée algérienne. 21 députés de l’Assemblée populaire nationale (APN), élus lors des élections législatives du 10 mai 2012, ont décidé de quitter leurs formations politiques pour rejoindre d’autres partis. Le président Bouteflika avait initié un texte de loi pour interdire le nomadisme politique mais cet article, adopté en Conseil des ministres en septembre 2011, avait refusé par les députés de l’Assemblée sortante.
Du nomadisme politique. Il s’agit de huit députés issus de l’Alliance de l’Algérie verte (AAV -islamiste), de cinq députés du Front national algérien (FNA), de deux députés issus du Rassemblement patriotique républicain (RPR) et de deux autres du Parti national pour la solidarité et le développement (PNSD), rapporte jeudi 6 décembre l’agence APS.
Quatre élus issus respectivement du parti El-Fedjr El-Jadid (PFJ), du Rassemblement algérien (RA), du Parti du renouveau algérien (PRA) et du Front national pour la justice sociale (FNJS) ont également quitté leurs partis.
L’agence ne précise pas les noms des députés qui ont décidé de transhumé ni celui des partis qui ont bénéficié de ses arrivées.
Lire l'article original : | DNA - Dernières nouvelles d'Algérie
Du nomadisme politique. Il s’agit de huit députés issus de l’Alliance de l’Algérie verte (AAV -islamiste), de cinq députés du Front national algérien (FNA), de deux députés issus du Rassemblement patriotique républicain (RPR) et de deux autres du Parti national pour la solidarité et le développement (PNSD), rapporte jeudi 6 décembre l’agence APS.
Quatre élus issus respectivement du parti El-Fedjr El-Jadid (PFJ), du Rassemblement algérien (RA), du Parti du renouveau algérien (PRA) et du Front national pour la justice sociale (FNJS) ont également quitté leurs partis.
L’agence ne précise pas les noms des députés qui ont décidé de transhumé ni celui des partis qui ont bénéficié de ses arrivées.
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