Crise au FLN : Belayat réitère son rejet de la réunion du Comité central
Abderrahmane Belayat a fait part au ministère de l’Intérieur de son rejet des résultats de la session du Comité central du parti de ce jeudi 29 août. Dans une lettre rendue publique par la direction du parti, Belayat écrit : « Nous vous assurons notre opposition aux résultats de la réunion de cette session ».
Il ajoute qu’en vertu de l’article 9 du règlement intérieur du CC et de l’article 158 des statuts du parti, il est le seul habilité à convoquer une session du Comité central.
M. Belayat a rappelé aussi la décision du Conseil d’État rendue publique annulant l’autorisation obtenue par le groupe de Boumahdi pour la tenue d’une réunion du Comité central. Des membres du CC opposés à la réunion de l’Aurassi appellent par ailleurs les institutions de l’État concernées à annuler « ce qui s’est passé à l’Aurassi, contre la loi, la justice et le FLN ».
Qualifiant l’organisation de la réunion au détriment d’une décision du Conseil de l’État d’« étrange » et de « dangereuse », les contestataires, dont le nombre et les noms n’ont pas été précisés, appellent aussi le président Abdelaziz Bouteflika qui est également président d’honneur du parti à intervenir pour « corriger la situation ». Ils appellent également les militants à refuser l’imposition « du fait accompli » et de rester « éveillés » et « mobilisés » pour protéger l’État de droit.
M. Belayat a rappelé aussi la décision du Conseil d’État rendue publique annulant l’autorisation obtenue par le groupe de Boumahdi pour la tenue d’une réunion du Comité central. Des membres du CC opposés à la réunion de l’Aurassi appellent par ailleurs les institutions de l’État concernées à annuler « ce qui s’est passé à l’Aurassi, contre la loi, la justice et le FLN ».
Qualifiant l’organisation de la réunion au détriment d’une décision du Conseil de l’État d’« étrange » et de « dangereuse », les contestataires, dont le nombre et les noms n’ont pas été précisés, appellent aussi le président Abdelaziz Bouteflika qui est également président d’honneur du parti à intervenir pour « corriger la situation ». Ils appellent également les militants à refuser l’imposition « du fait accompli » et de rester « éveillés » et « mobilisés » pour protéger l’État de droit.
Hadjer Guenanfa
source TSA
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