La subite nervosité du Makhzen en dit long sur le désarroi de la monarchie et d'une grande partie de la classe politique marocaine. Depuis près de 40 ans, le thème du rattachement du Sahara à la «patrie mère» constitue le sujet sacré et tabou qui consacre l'unité nationale et maintient en vie un trône chancelant.
Mohammed VI, en mauvais élève de son père, s'est éloigné progressivement des promesses et des engagements de Hassan II, profitant d'un réseau de soutiens occultes ou déclarés parmi les royaumes arabes et certaines puissances occidentales. Désormais, ce soutien s'effrite car les intérêts économiques et géostratégiques placent l'Algérie au cœur de la problématique maghrébine et sahélienne. La voix de notre pays, appelant avec insistance la communauté internationale à assumer ses responsabilités, se fait de plus en plus entendre. C'est la voix de la raison et de la justice qui interpelle les consciences pour en finir avec l'une des dernières colonisations dans le monde.
Alors, ne donnons pas plus d'importance à ce qui est une grossière manipulation. Ce n'est pas un voyou du Makhzen s'attaquant minablement à l'emblème des chouhada, censé être protégé par le pays d'accueil, qui fera perdre sa sérénité et sa force retrouvée à une diplomatie que nous saluons bien bas pour sa responsabilité et son sang-froid !
Mohammed VI, en mauvais élève de son père, s'est éloigné progressivement des promesses et des engagements de Hassan II, profitant d'un réseau de soutiens occultes ou déclarés parmi les royaumes arabes et certaines puissances occidentales. Désormais, ce soutien s'effrite car les intérêts économiques et géostratégiques placent l'Algérie au cœur de la problématique maghrébine et sahélienne. La voix de notre pays, appelant avec insistance la communauté internationale à assumer ses responsabilités, se fait de plus en plus entendre. C'est la voix de la raison et de la justice qui interpelle les consciences pour en finir avec l'une des dernières colonisations dans le monde.
Alors, ne donnons pas plus d'importance à ce qui est une grossière manipulation. Ce n'est pas un voyou du Makhzen s'attaquant minablement à l'emblème des chouhada, censé être protégé par le pays d'accueil, qui fera perdre sa sérénité et sa force retrouvée à une diplomatie que nous saluons bien bas pour sa responsabilité et son sang-froid !
Par Maâmar Farah
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire