"L’Algérie ne me doit rien, mais moi je dois à l’Algérie. Je dois à l’Algérie d’avoir vécu de soleil, d’avoir été nourri de son amour pudique et braillard, excessif et profond, ensemencé des cris de la rue, où j’ai appris la vie, la lutte et la fraternité" Roger Hanin
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