Selon la presse, Alger refuse de collaborer avec les milices qui assurent la sécurité de la frontière libyenne. Les journaux évoquent des groupes touaregs ou salafistes. Il s’agit des groupes d’ex-rebelles auxquels Tripoli a confié la charge d’assurer la sécurité dans tout le pays.
Pourtant, dans un communiqué, la présidence algérienne assurait mardi 22 octobre que les relations entre les deux pays étaient exceptionnelles. De son côté, le ministère des Affaires étrangères maintient qu’Alger coopère sur tous les plans avec les autorités libyennes issues des élections de juillet 2012.
Sauf que les milices libyennes de la région sont basées sur des logiques tribales, idéologiques ou régionales, même si elles sont officiellement rattachées aux ministères de l’Intérieur et de la Défense. Aujourd’hui, elles s’opposent les unes aux autres, notamment pour le contrôle du trafic aux frontières.
C’est dans ce contexte que les forces de sécurité algériennes ont fait savoir à la presse que la collaboration sécuritaire posait problème.
Pourtant, dans un communiqué, la présidence algérienne assurait mardi 22 octobre que les relations entre les deux pays étaient exceptionnelles. De son côté, le ministère des Affaires étrangères maintient qu’Alger coopère sur tous les plans avec les autorités libyennes issues des élections de juillet 2012.
Sauf que les milices libyennes de la région sont basées sur des logiques tribales, idéologiques ou régionales, même si elles sont officiellement rattachées aux ministères de l’Intérieur et de la Défense. Aujourd’hui, elles s’opposent les unes aux autres, notamment pour le contrôle du trafic aux frontières.
C’est dans ce contexte que les forces de sécurité algériennes ont fait savoir à la presse que la collaboration sécuritaire posait problème.
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