Un incendie dont on ignore encore l'origine s’est déclaré en fin de matinée du mercredi 19 décembre à l’agence commerciale Actel appartenant à l’entreprise publique d’Algérie Télécom, située au sous-sol de la Grande Poste. Des informations confirmées évoquent des dommages dans les câbles de réseau internet. L'incendie est intervenu moins de trois heures avant avant le défilé des deux présidents dans Alger-centre. Les locaux brûlent encore en milieu de l'aprés-midi.
Des pompiers déjà très nombreux sur les lieux dans le cadre de la sécurité autour de la visite de M. Hollande dans la capitale algérienne sont intervenus en fin de matinée pour tenter d'éteindre l’incendie qui s'est déclenché dans la partie souterraine de l'agence.
Contactée, la protection civile confirme l’information à DNA. « Alertés à 11h10 exactement, nous avons dépêché nos équipes d’intervention qui ont procédé à l’extinction de cet incendie », indique le commandant Achour Farouk, chargé de communication à la protection civile.
Incendie maitrisé avant de repartir
Celui-ci expliquait une première fois que les flammes ont été éteintes vers 13h 30, mais la mousse et l'eau ont considérablement détérioré les installations. La police scientifique a été dépêchée sur les lieux pour investiguer sur les circonstances de cet incendie.
Alors que l’incendie semblait être maitrisé, les flammes ont repris vers 14h au moment ou les deux présidents prenaient un bain de foule sur le Boulevard du front de mer.
« Nos équipe ne sont pas encore parvenu à maitriser l'incendie », affirme une source à la protection civile qui a dépêché sur les lieux 09 équipes de pompiers et 11 camions.
• Lire → Bain populaire de François Hollande à Alger, la liesse avec foule importée [ DIRECT ]
Enormes difficultés
« Nous sommes confrontés à d'énormes difficultés, affirme à DNA un pompier présent sur place. Nous nous progressons très difficilement. Les sous sol est composé de tunnels très étroits, ce qui rend la visibilité très difficile ».
Dans l'après-midi les flammes ont atteint le troisième étage de cette bâtisse de style néo-mauresque construite en 1910. D'épaisses fumées noires montent dans le ciel bleu d'Alger.
Une dizaine d'employés seraient pris au piège sur le toit de la bâtisse alors que les secouristes tentent de les sauver, avions nous appris.
Bien qu'aucune piste n'ait été avancée pour expliquer les raisons de cette catastrophe, la piste criminelle n'est pas négligée d'autant que l'incendie s'est déclenché moins de trois heures avant l'arrivée du président français dans la capitale.
Déjà brûlé en mars 2007
L'incendie a provoqué des perturbations au niveau de la connexion internet dans certains quartiers d’Alger centre tandis que le réseau téléphonique a été coupé.
L’incendie a engendré d’ « importantes perturbations » du réseau téléphonique et d’Internet, a indiqué le groupe Algérie Télécom, dans un communiqué cité par l’APS.
« Des équipes techniques d’Algérie Télécom ont été vite dépêchées sur les lieux en vue de juguler le sinistre et de procéder au rétablissement de toutes les lignes dont certaines le sont déjà », a précisé la même source.
C'est la deuxième fois que cette agence fait l'objet d'un incendie. En mars 2007, les locaux de cette entreprise ont été ravagés par les flammes en raison, semble-t-il, d'un court-circuit. Le montant des pertes était évalué à l'époque à 3,7 milliards de centimes.
Photos El Watan Weekend
Des pompiers déjà très nombreux sur les lieux dans le cadre de la sécurité autour de la visite de M. Hollande dans la capitale algérienne sont intervenus en fin de matinée pour tenter d'éteindre l’incendie qui s'est déclenché dans la partie souterraine de l'agence.
Contactée, la protection civile confirme l’information à DNA. « Alertés à 11h10 exactement, nous avons dépêché nos équipes d’intervention qui ont procédé à l’extinction de cet incendie », indique le commandant Achour Farouk, chargé de communication à la protection civile.
Incendie maitrisé avant de repartir
Celui-ci expliquait une première fois que les flammes ont été éteintes vers 13h 30, mais la mousse et l'eau ont considérablement détérioré les installations. La police scientifique a été dépêchée sur les lieux pour investiguer sur les circonstances de cet incendie.
Alors que l’incendie semblait être maitrisé, les flammes ont repris vers 14h au moment ou les deux présidents prenaient un bain de foule sur le Boulevard du front de mer.
« Nos équipe ne sont pas encore parvenu à maitriser l'incendie », affirme une source à la protection civile qui a dépêché sur les lieux 09 équipes de pompiers et 11 camions.
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Enormes difficultés
« Nous sommes confrontés à d'énormes difficultés, affirme à DNA un pompier présent sur place. Nous nous progressons très difficilement. Les sous sol est composé de tunnels très étroits, ce qui rend la visibilité très difficile ».
Dans l'après-midi les flammes ont atteint le troisième étage de cette bâtisse de style néo-mauresque construite en 1910. D'épaisses fumées noires montent dans le ciel bleu d'Alger.
Une dizaine d'employés seraient pris au piège sur le toit de la bâtisse alors que les secouristes tentent de les sauver, avions nous appris.
Bien qu'aucune piste n'ait été avancée pour expliquer les raisons de cette catastrophe, la piste criminelle n'est pas négligée d'autant que l'incendie s'est déclenché moins de trois heures avant l'arrivée du président français dans la capitale.
Déjà brûlé en mars 2007
L'incendie a provoqué des perturbations au niveau de la connexion internet dans certains quartiers d’Alger centre tandis que le réseau téléphonique a été coupé.
L’incendie a engendré d’ « importantes perturbations » du réseau téléphonique et d’Internet, a indiqué le groupe Algérie Télécom, dans un communiqué cité par l’APS.
« Des équipes techniques d’Algérie Télécom ont été vite dépêchées sur les lieux en vue de juguler le sinistre et de procéder au rétablissement de toutes les lignes dont certaines le sont déjà », a précisé la même source.
C'est la deuxième fois que cette agence fait l'objet d'un incendie. En mars 2007, les locaux de cette entreprise ont été ravagés par les flammes en raison, semble-t-il, d'un court-circuit. Le montant des pertes était évalué à l'époque à 3,7 milliards de centimes.
Photos El Watan Weekend
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