Cette fois-ci la bonne ? Parmi les quelques quinze accords de coopération qui devraient être signés lors de la visite en Algérie de François Hollande les 19 et 20 décembre prochains, figure celui de l’usine du constructeur Renault, révèle une source à l'Elysée au site Les Echos. Ce dernier a indiqué que la présidence française n’a pas fourni d’autres précisions sur ce dossier pas plus qu'elle ne s'est exprimée sur la cas de Peugeot.
Cette signature constituerait la finalisation de l'accord cadre signé entre Renault et les autorités algériennes pour l'installation d'une usine dans la région d’Oran, dans l’Ouest d’Algérie.
Cet accord-cadre étant signé le 25 mai après 15 mois de négociations, il ne reste qu'à mettre sur pieds une joint-venture entre le constructeur français et son partenaire algérien pour la production dans un premier temps de 75.000 voitures par an sur le site de Oued Tlelat, dans la région d'Oran (430 km à l'ouest d'Alger.
La société mixte sera détenue à 51 % par des capitaux algériens et à 49 % par Renault selon la règle de 51/49 sur les investissements émise en août 2009 par le gouvernement et reconduite par le Premier ministre Abdelmalek Sellal
Cette signature constituerait la finalisation de l'accord cadre signé entre Renault et les autorités algériennes pour l'installation d'une usine dans la région d’Oran, dans l’Ouest d’Algérie.
Cet accord-cadre étant signé le 25 mai après 15 mois de négociations, il ne reste qu'à mettre sur pieds une joint-venture entre le constructeur français et son partenaire algérien pour la production dans un premier temps de 75.000 voitures par an sur le site de Oued Tlelat, dans la région d'Oran (430 km à l'ouest d'Alger.
La société mixte sera détenue à 51 % par des capitaux algériens et à 49 % par Renault selon la règle de 51/49 sur les investissements émise en août 2009 par le gouvernement et reconduite par le Premier ministre Abdelmalek Sellal
Les négociations autour de cette usine ont connu de multiples péripéties et rebondissements ; le constructeur français voulait l’implanter prés d’Alger alors que le gouvernement algérien avait proposé un site dans la région de Jijel. Les deux parties sont finalement tombées d’accord pour l’implanter dans l’Oranie.
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