17 h 40 – Le président français a également botté en touche concernant les risques d'un printemps arabe en Algérie. « Ce que disent les Algériens, c'est qu'ils ont déjà vécu le printemps arabe », a‑t‑il répondu en allusion aux évènements d'octobre 1988.
17 h 35 – François Hollande a affirmé que l’Algérie et la France étaient en convergence sur le dossier malien. « Nous sommes en convergence, avec le président Bouteflika ». Mais le chef de l’État français a botté en touche après une question de la directrice du quotidien public Echaab sur les liens entre l’industrie de l’armement et les tensions actuelles aux frontières algériennes, particulièrement au Mali.
17 h 30 – Après son entretien en tête‑à‑tête avec Abdelaziz Bouteflika, François Hollande a animé une conférence de presse. Il s'est présenté seul devant les journalistes. Le président français a plaidé en faveur d'un « partenariat d'égal à égal » avec l'Algérie. Il annoncé la signature d'une « déclaration d'amitié et de coopération » qui sera suivie d'un document cadre de partenariat.
16 h 45 – Cinq militants, dont un membre de Sos Disparus, et deux membres du Comité national de défense des droits des chômeurs ont été arrêtés, dans l’après‑midi par la police, à Alger‑centre, selon Hacène Ferhati, de SOS disparus. Trois d’entre eux ont été relâchés.
« On voulait manifester aujourd’hui à l’occasion de la visite du président français pour rappeler le problème des disparitions forcées en Algérie », a‑t‑il indiqué à TSA. Les agents des renseignements généraux ont encerclé le siège de SOS disparus (situé rue Didouche Mourad) à partir de 11 heures du matin, selon lui. « Il y avait une cinquantaine de policiers en civil. Un officier m’a menacé en me disant "soit vous partez chez vous, soit on applique la loi si vous voulez manifester". Je lui ai dit d’appliquer », a‑t‑il ajouté.
16 h 15 – Le président Abdelaziz Bouteflika a eu ce mercredi à Alger des entretiens en tête‑à‑tête avec son homologue français, François Hollande, en visite d’État de deux jours en Algérie. Les entretiens ont eu lieu à la résidence d’État de Zéralda. M. Hollande est accompagné, dans sa visite, d’une importante délégation, dont notamment le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius, de l’Intérieur Manuel Valls, de la Défense Jean‑Yves Le Drian, du Commerce extérieur Nicole Brick ainsi que du général d’Armée, Benoît Puga, chef d’état‑major particulier du président Hollande, et de parlementaires des deux Chambres, l’Assemblée nationale et le Sénat.14 h 45 – François Hollande et Abdelaziz Bouteflika ont quitté le Alger‑centre après une petite promenade sur le front‑de‑mer. Les deux présidents devraient à présent avoir des entretiens politiques à la résidence d'État de Zeralda.
14 h 30. L'incendie qui a ravagé les installations téléphoniques dans le sous‑sol de la Grande‑Poste vient de reprendre. Des colonnes de fumée épaisse sortent des fenêtres de ce bâtiment.
14 h – Arrivée de François Hollande et du président Bouteflika au centre‑ville d'Alger, près de la Grande‑Poste. Les deux présidents vont déambuler sur le front‑de‑mer et effectuer un bain de foule.
13 h 30 – L'incendie qui s'est déclenché dans les sous-sols de la Grand-Poste est maîtrisé, selon des agents de la Protection civile sur place. Toutefois, une épaisse fumée continue de se dégager du lieu de l'incendie alors que François Hollande et Abdelaziz Bouteflika sont attendus vers 14 heures, au niveau du carrefour jouxtant la Grande-Poste.
13 h 10 – Une délégation de 200 personnes, dont neuf ministres, accompagne François Hollande en Algérie. Après l’accueil officiel à l’aéroport, les deux présidents prendront la direction du centre‑ville d’Alger pour un bain de foule et une "déambulation" sur le front‑de‑mer, à proximité du square Sofia.
13 h – Arrivée de François Hollande à Alger. L'avion du président français s'est posé sur le tarmac de l'aéroport Houari Boumediene. Il sera accueilli par le président Abdelaziz Bouteflika.
12 h 15 – Un incendie s’est déclenché, vers la fin de la matinée de ce mercredi 19 décembre, dans une partie des locaux de la Grande‑Poste, a‑t‑on constaté sur place. Alors que les agents de police tentaient de gérer les centaines d’enfants et de jeunes convoyés au centre‑ville pour accueillir le président français François Hollande, les pompiers essayaient de maîtriser l’incendie. De nombreuses lignes téléphoniques ont été coupées ainsi qu’internet. Nos tentatives de joindre la direction de la communication d’Algérie Télécom sont restées vaines.
François Hollande doit effectuer vers 14 heures un bain de foule à partir du square Sofia, à quelques mètres de la Grande‑Poste.
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