Incompréhensible décision du gouvernement
Le CCF à Tlemcen, mais pas à Tizi Ouzou
Ainsi va le système algérien dont le fonctionnement continue d’être l’otage des vieux réflexes et de l’autoritarisme moyenâgeux du parti unique. C’est donc officiel : Tizi Ouzou n’aura pas son Institut français d’Algérie (appelé auparavant Centre culturel français). Selon le journal électronique Tout sur l’Algérie, l’ambassade de France à Alger a été destinataire, en milieu de la semaine dernière, d’une correspondance officielle des autorités algériennes l’informant de leur refus définitif d’autoriser cette réouverture. Cinq villes du pays, en l’occurrence Tlemcen, Oran, Alger, Annaba et Constantine, ont toutes leur IFA. Pourquoi pas Tizi Ouzou dont beaucoup de résidents continuent de s’adresser à celui d’Alger ? Nous sommes en 2013 mais, visiblement, les esprits de nos dirigeants n’ont pas évolué.
Radar in Liberté algérie
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